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Comment se préparer en vue du marathon Emera Blue Nose

Les conseils de Richard Van Horne, chef d’équipe à la Gestion de l’invalidité et membre de Team Myles

Publié par Croix Bleue Medavie le 15 mai 2023

Comment se préparer en vue du marathon Emera Blue Nose

Les conseils de Richard Van Horne, chef d’équipe à la Gestion de l’invalidité et membre de Team Myles

Publié par Croix Bleue Medavie le 15 mai 2023

Encore une fois cette année, Croix Bleue Medavie est la fière commanditaire du demi-marathon qui se tiendra le 21 mai prochain à Halifax, dans le cadre du plus grand événement de course et de marche au Canada atlantique, le marathon Emera Blue Nose. En prévision du grand jour, nous avons invité Richard Van Horne, chef d’équipe au sein du service de Gestion de l’invalidité de Croix Bleue Medavie et membre de Team Myles, à nous faire part de ce qui l’a poussé à se mettre à la course, des aspects de ce sport qui lui plaisent et de ceux qu’il aime moins, et de ses principaux conseils en matière de course.

Richard habite à Dartmouth avec Jennifer, son épouse depuis 18 ans, et leurs enfants Carson, 14 ans, et Charlea, 11 ans, ainsi que leur chien Leo. Bien qu’il ait étudié en sciences et en génie à l’université, Richard a consacré toute sa carrière au domaine des assurances. Après avoir travaillé comme expert en sinistre indépendant aux côtés de son père, il s’est tourné vers le secteur de la gestion de l’invalidité. Richard dirige maintenant une équipe de spécialistes en gestion de l’invalidité qui s’occupe des demandes de prestations des clients de l’assurance collective de CBM. En dehors de son travail, il entraîne l’équipe de basket-ball de sa fille, joue au hockey et au golf, fait du vélo de montagne et du camping, en plus de travailler le bois.

Q. Parlez-nous de Team Myles. Qui fait partie de l’équipe?

R. L’équipe compte de 30 à 35 personnes. Sept d’entre elles ont déjà participé au demi-marathon et agissent comme entraîneurs, et les autres visent la course de 5 ou de 10 km. L’objectif est d’encourager les gens à courir. Quand on s’entraîne en groupe, des amitiés se tissent et on a plus de chance de continuer la course après le marathon Emera Blue Nose. Toutes les personnes sont les bienvenues, même celles qui n’ont aucune expérience en course. En fait, c’est une des premières choses que j’ai remarquées : il n’y a absolument aucun jugement, et les membres du groupe s’encouragent et se soutiennent mutuellement.

Q. Pourquoi avez-vous décidé de vous joindre à cette équipe?

R. Je voulais recommencer à bouger. Je courais beaucoup il y a 8 à 10 ans. C’était avant la COVID bien sûr. Après je suis devenu pas mal sédentaire et je ne me sentais pas en forme. Mes récentes tentatives de me remettre au sport n’avaient pas fonctionné, parce que je suis le genre de personne qui a besoin d’un objectif. En faisant partie d’une équipe, je n’ai pas le choix de m’entraîner si je veux faire bonne figure devant les autres.

Q. Parlez-nous de Team Myles. Qui fait partie de l’équipe?

R. L’équipe compte de 30 à 35 personnes. Sept d’entre elles ont déjà participé au demi-marathon et agissent comme entraîneurs, et les autres visent la course de 5 ou de 10 km. L’objectif est d’encourager les gens à courir. Quand on s’entraîne en groupe, des amitiés se tissent et on a plus de chance de continuer la course après le marathon Emera Blue Nose. Toutes les personnes sont les bienvenues, même celles qui n’ont aucune expérience en course. En fait, c’est une des premières choses que j’ai remarquées : il n’y a absolument aucun jugement, et les membres du groupe s’encouragent et se soutiennent mutuellement.

Q. Pourquoi avez-vous décidé de vous joindre à cette équipe?

R. Je voulais recommencer à bouger. Je courais beaucoup il y a 8 à 10 ans. C’était avant la COVID bien sûr. Après je suis devenu pas mal sédentaire et je ne me sentais pas en forme. Mes récentes tentatives de me remettre au sport n’avaient pas fonctionné, parce que je suis le genre de personne qui a besoin d’un objectif. En faisant partie d’une équipe, je n’ai pas le choix de m’entraîner si je veux faire bonne figure devant les autres.

Q. Quand avez-vous commencé à courir et pourquoi?

R. J’ai commencé à courir en 2007 au tout début de la trentaine. J’avais toujours été sportif, mais je bougeais moins depuis que les activités auxquelles je participais avaient cessé. Un de mes amis m’a encouragé à participer au demi-marathon Blue Nose de 2007. Je me suis entraîné et j’ai réussi à finir la course. J’ai adoré le fait de me fixer un objectif et de m’entraîner pour l’accomplir.

Q. Quel est l’aspect que tu préfères et l’aspect que tu aimes moins dans la course?

R. Ce que je préfère, c’est le fait de me sentir plus actif, énergique et vigoureux. Aussi, maintenant que j’ai des enfants, montrer l’exemple d’un mode de vie sain est important pour moi.

Ce que j’aime moins, ce sont les efforts que ça prend au début pour se mettre en forme avant que la course devienne plus facile. C’est difficile quand on commence, et je comprends pourquoi les gens abandonnent, mais une fois qu’on est assez en forme, la course devient moins épuisante.

Q. Quels sont les principaux bienfaits de la course pour ta santé?

R. La course m’aide à maîtriser mon poids et ma pression artérielle. Quand je suis sédentaire, j’ai tendance à engraisser et je dois prendre des médicaments pour ma pression. Ce n’est pas le cas quand je suis actif.

Q. À combien de marathons Blue Nose avez-vous participé?

R. J’ai participé au demi-marathon Blue Nose en 2007, en 2008 et en 2009. J’ai ensuite couru le marathon complet en 2010 puis le marathon de Boston en 2012 et en 2014. Cette course de 2014 est le dernier événement auquel j’ai participé, et ça fait du bien de s’y remettre, si on fait abstraction de la douleur, bien sûr.

Q. Qu’est-ce que vous préférez du marathon Emera Blue Nose?

R. J’aime beaucoup le marathon Emera Blue Nose parce que c’est un événement local qui est très populaire. Il attire de plus en plus de participants chaque année, grâce au fait qu’il propose des distances pour tous les goûts. Les coureurs et coureuses d’expérience peuvent faire le demi-marathon ou le marathon complet, tandis que les novices peuvent opter pour une des distances plus courtes qui sont offertes. C’est ce qui est formidable avec la course : tout le monde peut participer. Il suffit d’y aller à votre propre rythme, les autres coureurs ne vont pas vous juger. Ils seront juste heureux d’accueillir un autre adepte.

Q. Quelle est ta préparation pour le demi-marathon de cette année?

R. Au début de l’année, j’ai modifié légèrement mon alimentation et j’ai commencé à marcher plus souvent avec mon chien et à faire des séances d’exercice pour perdre du poids. La course est difficile pour les chevilles et les genoux, alors je cours trois fois par semaine et je fais d’autres types d’activités physiques deux ou trois fois par semaine. C’est ma façon de prévenir les blessures, parce que j’ai tendance à faire des tendinites aux genoux si je ne fais que courir. Je fais du vélo de montagne et des entraînements P90x en alternance avec la course.

Q. À combien de marathons Blue Nose avez-vous participé?

R. J’ai participé au demi-marathon Blue Nose en 2007, en 2008 et en 2009. J’ai ensuite couru le marathon complet en 2010 puis le marathon de Boston en 2012 et en 2014. Cette course de 2014 est le dernier événement auquel j’ai participé, et ça fait du bien de s’y remettre, si on fait abstraction de la douleur, bien sûr.

Q. Qu’est-ce que vous préférez du marathon Emera Blue Nose?

R. J’aime beaucoup le marathon Emera Blue Nose parce que c’est un événement local qui est très populaire. Il attire de plus en plus de participants chaque année, grâce au fait qu’il propose des distances pour tous les goûts. Les coureurs et coureuses d’expérience peuvent faire le demi-marathon ou le marathon complet, tandis que les novices peuvent opter pour une des distances plus courtes qui sont offertes. C’est ce qui est formidable avec la course : tout le monde peut participer. Il suffit d’y aller à votre propre rythme, les autres coureurs ne vont pas vous juger. Ils seront juste heureux d’accueillir un autre adepte.

Q. Quelle est ta préparation pour le demi-marathon de cette année?

R. Au début de l’année, j’ai modifié légèrement mon alimentation et j’ai commencé à marcher plus souvent avec mon chien et à faire des séances d’exercice pour perdre du poids. La course est difficile pour les chevilles et les genoux, alors je cours trois fois par semaine et je fais d’autres types d’activités physiques deux ou trois fois par semaine. C’est ma façon de prévenir les blessures, parce que j’ai tendance à faire des tendinites aux genoux si je ne fais que courir. Je fais du vélo de montagne et des entraînements P90x en alternance avec la course.

Q. Quels sont tes conseils pour se préparer en vue de l’événement?

R. Allez-y progressivement. On ne se met pas en forme en une semaine; ça prend de la patience. Je recommande vraiment d’alterner les entraînements de course avec d’autres sports pour éviter les déséquilibres musculaires. En ajoutant d’autres activités, on peut s’entraîner plus souvent et prévenir les blessures.

Q. Que diriez-vous à une personne qui souhaite commencer à courir?

R. Commencez lentement. Si vous courez trop vite et trop longtemps dès le début, vous risquez de trouver ça très difficile, de vous blesser et même d’abandonner. Je vous recommande plutôt de vous fixer un objectif. Lancez-vous et poursuivez votre objectif, en sachant qu’il vous faudra du temps et beaucoup de travail pour l’atteindre, mais que vous en tirerez une grande fierté. Le fait de s’améliorer constamment et d’atteindre un objectif est très satisfaisant et pousse à vouloir s’en fixer un autre. Plus on avance, mieux on se sent, jusqu’à ce que ça devienne un mode de vie plutôt qu’une obligation.

Q. Quels sont tes conseils pour se préparer en vue de l’événement?

R. Allez-y progressivement. On ne se met pas en forme en une semaine; ça prend de la patience. Je recommande vraiment d’alterner les entraînements de course avec d’autres sports pour éviter les déséquilibres musculaires. En ajoutant d’autres activités, on peut s’entraîner plus souvent et prévenir les blessures.

Q. Que diriez-vous à une personne qui souhaite commencer à courir?

R. Commencez lentement. Si vous courez trop vite et trop longtemps dès le début, vous risquez de trouver ça très difficile, de vous blesser et même d’abandonner. Je vous recommande plutôt de vous fixer un objectif. Lancez-vous et poursuivez votre objectif, en sachant qu’il vous faudra du temps et beaucoup de travail pour l’atteindre, mais que vous en tirerez une grande fierté. Le fait de s’améliorer constamment et d’atteindre un objectif est très satisfaisant et pousse à vouloir s’en fixer un autre. Plus on avance, mieux on se sent, jusqu’à ce que ça devienne un mode de vie plutôt qu’une obligation.

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